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Laferrière, Dany
Grasset, 178 pgs.
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Lafon, Marie-Hélène
Bucket/Chastel, 170 pgs.


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Lahens, Yanick
230 pgs
Sabine Wespieser editeur


A Port-au-Prince (Haïti) la violence n'est jamais totale. Elle trouve son pendant dans une douceur suraiguë qui submerge Francis...
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Lahens, Yanick
Sabine Wespieser éditeur, 273 pgs.

Prix Femina 2014
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Laroui, Fouad
Julliard, 167 pgs.

Goncourt de la nouvelle 2013
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Laroui, Fouad
Julliard, 304 pgs.
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Lê, Linda
Christian bourgois ed, 277 pgs.
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Leblanc, Maurice
Nouveau monde, 400 pgs.

« Le talent, le génie des malfaiteurs modernes semble prendre à notre époque, où tout se civilise, même le mal, des proportions grandioses. Qui peut se vanter d’échapper aux criminelles entreprises d’un coquin de l’envergure de celui dont le récit que nous publions expose… » Ainsi commence la toute première aventure d’Arsène Lupin, publiée dans le magazine Je sais tout en 1905. Cette histoire a lancé la carrière romanesque du gentleman cambrioleur et celle d’écrivain à succès de son créateur, Maurice Leblanc. En quelques années, le plus « grand des voleurs » va devenir le plus fameux héros de la littérature policière française. Depuis un siècle, il n’a cessé d’avoir du succès en librairie mais aussi au théâtre, en chansons, au cinéma ou en dessin animé. Lupin, la série TV dans laquelle l’acteur Omar Sy s’inspire du personnage mythique, a récemment pulvérisé des records d’audience dans plusieurs pays.

À travers vingt nouvelles accompagnées de leurs illustrations d’époque, les lecteurs d’aujourd’hui vont enfin découvrir l’Arsène Lupin de leurs (arrière) grands-parents, le « vrai », celui de la Belle Époque. Des histoires « à suivre », des feuilletons exactement comme ceux dévorés par le public de Je sais tout entre 1905 et 1911.

Dans ces Aventures extraordinaires, on croisera l’inspecteur Ganimard, la blonde Sonia Krichnoff, la brune Raymonde de Saint-Véran, le chef de la Sûreté M. Dudouis ou… Sherlock Holmes ! Le lecteur retrouvera surtout le séduisant Arsène, ce virtuose de la cambriole, si élégant, si chevaleresque et si inoubliable.

Préface de Hervé Lechat

de l’Association des Amis d’Arsène Lupin

Maurice Leblanc (1864-1941) est devenu grâce à Arsène Lupin l’un des écrivains les plus populaires en France. À ses débuts, il a été soutenu par Guy de Maupassant, Léon Bloy, Jules Renard ou encore Alphonse Daudet.

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La Clézio,J.M.G
Gallimard, 154 pgs.

Ce livre évoque des souvenirs de séjours réguliers que Le Clézio a passés dans la ville de Sainte Marine, à l’embouchure du fleuve Odet, dans le Finistère, lors de son enfance entre 1948 et 1954. Bien que l’auteur se défende de respecter une chronologie, le texte poursuit néanmoins l’ordre de la mémoire, allant de l’enfance vers la maturité. Le lieu de Sainte Marine est placé sous le signe de la mère. La Bretagne, et particulièrement le pays bigouden, que Simone Le Clézio aimait par dessus tout, ce pays où elle a reçu la demande en mariage de son père, ou elle a accouché de son frère et où elle est revenue se réfugier trois mois après la naissance de l’auteur à Nice, à cause de la seconde guerre mondiale. Au fil des chapitres, qui sont présentés comme des « chansons », le narrateur fait revivre une époque où Sainte Marine n’avait pas encore été arraisonnée par les boutiques, les carrefours giratoires, ni les bistrots en tout genre… À travers ces « chansons », l’auteur propose un vrai récit sur son enfance en Bretagne, qui s’enrichit également d’une réflexion plus large sur les changements de la géographie bretonne. Malgré son dépit face à ces bouleversements, Le Clézio ne cultive pas le goût de la nostalgie, car pour l’auteur « la nostalgie n’est pas un sentiment honorable ». Son intention est plutôt de rendre compte de la magie ancienne dont il fut le témoin, par les mots empruntés à la langue bretonne et les motifs d’une nature magnifique. Le texte est bercé par une douceur pastorale, qui fait vibrer les images des moissons en été, la chaleur des fêtes de nuit à Sainte Marine ou la beauté simple d’un verger en fleur – autant une ode à la campagne éternelle que la réminiscence de souvenirs intimes.

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Le Clézio, J.M.G.
Gallimard, 340 pgs.

Voici donc des histoires croisées, celle de Jérémie, en quête de Raphus cucullatus, alias l'oiseau de nausée, le dodo mauricien jadis exterminé par les humains, et celle de Dominique, alias Dodo, l'admirable hobo, né pour faire rire. Leur lieu commun est Alma, l'ancien domaine des Felsen sur l'île Maurice, que les temps modernes ont changée en Maya, la terre des illusions : 

«Dans le jardin de la Maison Blanche le soleil d'hiver passe sur mon visage, bientôt le soleil va s'éteindre, chaque soir le ciel devient jaune d'or. Je suis dans mon île, ce n'est pas l'île des méchants, les Armando, Robinet de Bosses, Escalier, ce n'est pas l'île de Missié Kestrel ou Missié Zan, Missié Hanson, Monique ou Véronique, c'est Alma, mon Alma, Alma des champs et des ruisseaux, des mares et des bois noirs, Alma dans mon cœur, Alma dans mon ventre. Tout le monde peut mourir, pikni, mais pas toi, Artémisia, pas toi. Je reste immobile dans le soleil d'or, les yeux levés vers l'intérieur de ma tête puisque je ne peux pas dormir, un jour mon âme va partir par un trou dans ma tête, pour aller au ciel où sont les étoiles.»

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Le Clezio, J. M. G.
Gallimard, 192 pages.

Prix Nobel 2008
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Le Clezio, J. M. G.
Nouvelles
Gallimard, 345 pages.

Prix Nobel 2008
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Le Clézio, J. M. G.
Gallimard, 224 pgs.

Prix Nobel 2008
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Le Clézio, J.M.G.
Gallimard, 231 pgs.

Prix Nobel 2008

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Ledig, Agnès
Albin Michel, 310 pgs.
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Ledig, Agnès
170 pgs, Le Robert

Dans un récit à fleur de peau, Agnès Ledig raconte les circonstances douloureuses de la naissance de l'écriture, la dimension thérapeutique des mots, le rêve d'une autre société, construite sur des valeurs humaines essentielles : liberté, égalité, fraternité, respect...
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Lemaitre, Pierre
Albin Michel, 576 pgs.

Prix Goncourt 2013

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Lemaitre, Pierre
556 pgs, Magnard

Prix Goncourt 2013

Magnard Classiques & Contemporains. Texte intégral. Édition pédagogique exclusive. Inclus: Un cahier photos de 16 pages en couleurs, une interview inédite de Pierre Lemaitre.

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Lemaitre, Pierre
Albin Michel, 529 pgs.

Février 1927. Le Tout-Paris assiste aux obsèques de Marcel Péricourt. Sa fille, Madeleine, doit prendre la tête de l'empire financier dont elle est l'héritière, mais le destin en décide autrement. Son fils, Paul, d'un geste inattendu et tragique, va placer Madeleine sur le chemin de la ruine et du déclassement.
Face à l'adversité des hommes, à la cupidité de son époque, à la corruption de son milieu et à l'ambition de son entourage, Madeleine devra déployer des trésors d'intelligence, d'énergie mais aussi de machiavélisme pour survivre et reconstruire sa vie. Tâche d'autant plus difficile dans une France qui observe, impuissante, les premières couleurs de l'incendie qui va ravager l'Europe.

Couleurs de l'incendie est le deuxième volet de la trilogie inaugurée avec Au revoir là-haut, prix Goncourt 2013, où l'on retrouve l'extraordinaire talent de Pierre Lemaitre.

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Lemaitre, Pierre
Albin Michel, 536 pgs.
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Le Tellier, Hervé
Gallimard, 327 pgs.
PRIX GONCOURT 2020
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Leroy, Gilles
Mercvre de France
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Lévy, Justine & The anonymous project
Flammarion, 185 pgs.

A partir de photos capturant les petits et grands moments qui ponctuent la vie des familles ― vacances, anniversaires, repas dominicaux, tâches quotidiennes ―, Justine Lévy a inventé les histoires qui se cachent derrière les images. Elle a mis en scène, tantôt avec humour, tantôt avec une sensibilité mélancolique, ces instantanés qui dessinent au fur et à mesure une "histoire des familles" où chacun reconnaîtra, comme dans un miroir, une part de son roman intime.


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Lévy, Justine
Stock, 214 pgs.
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Levy, Marc
Robert Laffont, Versilio, 401pgs.
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