A-D

De Kermel, Éric
J'ai lu, 286 pgs.

g

Delacourt, Grégoire
LdP, 282 pgs

 

« Moi, je crois au premier regard, maman. Je crois à la première impression. Je crois au langage de la chair. Au langage des yeux. Au vertige.
À la foudre.
― Ce à quoi tu crois, ma petite fille, cela aboutit au chagrin. »
Il y a les promesses que l’on se fait à vingt ans, et les rencontres que nous réserve le hasard. Il y a le bonheur que l’on croyait tenir, et celui après lequel on court. Il y a l’urgence à vivre.


g
Delacourt, Grégoire
Le livre de poche, 235 pgs.
g
Grégoire DELACOURT.
Le Livre de Poche, 184 pages
g
Delacourt, Grégoire
Ldp, 215 pgs.
g
Delerm, Philippe
Points.
g
delequel65

Delerm, Philippe
Folio, 276 pgs.

Souvent, monsieur Spitzweg va marcher au hasard, le samedi, le dimanche matin cette odeur de poulet rôti que suivront l'après-midi tant de promenades de famille à pas gourds, tant de mélancolie ! Il a ses préférences, fonction de ses humeurs : le canal Saint-Martin quand il a le moral, et les Buttes-Chaumont, les jours de nostalgie. Mais il aime aussi ne pas savoir vraiment où il se trouve, arpenter l'anonymat des boulevards extérieurs, puis prendre une radiale et plonger tout à coup dans l'atmosphère d'un quartier. Aimer Paris. Aimer la solitude. Etre un regardeur, et pas un regardé. Voilà la vie d'Arnold Spitzweg.

g

Delerm, Philippe
202 pgs, Points

Phillippe Delerm n'est jamais allé à New York. New York, il l'a embrassée tout entière au travers de films, de photos, d'albums, de livres. Elle est devenue la ville rêvée.Celle où il n'ira jamais pour préserver le secret, pour que la réalité jamais vienne ternir, abîmer. Préférer inventer sa vie.Garder en mémoire tous les trésors qui fonts les vrais voyages.

g
Delerm, Philippe
Gallimard, Folio, 11x18 cm.
g

Delerm, Philippe
Gallimard, 211 pgs.

Grez-sur-Loing, 1884. Autour de Carl Larsson vit une petite communauté de peintres scandinaves venus tester la lumière tant vantée par ceux que l'on nomme, encore par dérision, les "impressionnistes". August Strindberg est là avec sa famille, Soren Kroyer les rejoint bientôt. Pour Ulrik Tercier, ils représentent la joie de vivre, la passion. Aussi, quand le groupe se délite, décide-t-il de partir pour Skagen, au Danemark, avec Soren Kroyer. Il est dès lors partagé entre différents lieux - Skagen, Grez et Sundborn, en Suède - qui incarnent autant de conceptions de l'art et de la vie. Sundborn ou Les jours de lumière, qui met en scène des personnages réels et romanesques, décrit par petites touches, légères et sensibles, les heurts, les cassures, les instants parfaits qui font une vie. Evocation de l'impossible conciliation entre l'absolu de l'art et les nécessaires compromissions de l'existence, ce roman empreint de nostalgie est également une célébration de la joie de vivre, et de peindre.

g

Delerm, Philippe
232 pgs, Points

Etre riche, à chaque époque de notre existence, de tous les moments qu'on a vécus, qu'on vit, qu'on vivra encore : c'est cela, la vie en relief. Voir ses souvenirs et ses sensations non pas additionnés les uns aux autres, mais comme démultipliés, à l'infini. Vivre comme si c'était la première fois. Trouver de la beauté dans l'ordinaire des choses. Aimer vieillir, écouter le bruit du temps qui passe.

g
Desarthe, Agnès
Points Seuil, 321 pgs.

Rose a vingt ans quand elle débarque à Paris. Sans le sou, des idéaux romanesques plein la tête, elle cherche sa place dans le monde. D'aventures en mésaventures, la jeune fille connaît la misère et l'opulence, la guerre et la vie de bohème, l'amour et la chute. Vivant à contre-courant, sans vraiment savoir ce qu'elle veut ni où elle va, Rose suit les mouvements de son cœur. Au risque de tomber.

g
Desarthe, Agnès
Points Seuil, 273 pgs.
g
Desbordes, Michele
Gallimard, Folio,  141 pgs.
g
Despentes, Virginie
Ldp, 376 pgs.

Prix Renaudot 2010

Valentine a disparu... Qui la cherche vraiment ? Entre satire sociale, polar contemporain et romance lesbienne, le nouveau roman de Virginie Despentes est un road-book qui promène le lecteur entre Paris et Barcelone, sur les traces de tous ceux qui ont connu Valentine, l'adolescente égarée… Les différents personnages se croisent sans forcément se rencontrer, et finissent par composer, sur un ton tendre et puissant, le portrait d'une époque.

g
Despentes, Virginie
Ldp, 283 pgs.

C’est l’histoire d’une amitié passionnelle : deux filles sans repères dont les chemins se croisent par hasard, et qui vont découvrir qu’elles n’ont plus rien à perdre… Paru en 1993 et traduit dans plus de vingt langues, Baise-moi est une déclaration de guerre au bon goût, aux beaux sentiments et à l’élégance. À la croisée du roman « hard boiled » et de la culture hard core, un roman nihiliste et trash, que sauve un humour grinçant…

Virginie Despentes et Coralie Trinh Thi l’ont adapté à l’écran en 2000, avec Karene Bach et Rafaella Anderson dans les rôles titres. Censuré en France, le film a connu un succès durable à l’international.

g
Despentes, Virginie
Ldp, 151 pgs.

J’écris de chez les moches, pour les moches, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, toutes les exclues du grand marché à la bonne meuf, aussi bien que pour les hommes qui n’ont pas envie d’être protecteurs, ceux qui voudraient l’être mais ne savent pas s’y prendre, ceux qui ne sont pas ambitieux, ni compétitifs, ni bien membrés.
Parce que l’idéal de la femme blanche séduisante qu’on nous brandit tout le temps sous le nez, je crois bien qu’il n’existe pas.
V.D.

En racontant pour la première fois comment elle est devenue Virginie Despentes, l’auteur de Baise-moi conteste les discours bien-pensants sur le viol, la prostitution, la pornographie. Manifeste pour un nouveau féminisme.

g
Despentes, Virginie Ldp, 428 pgs. Prix Anaïs Nin 2015 Qui est Vernon Subutex ? Une légende urbaine. Un ange déchu. Un disparu qui ne cesse de ressurgir. Le détenteur d'un secret. Le dernier témoin d'un monde révolu. L'ultime visage de notre comédie inhumaine. Notre fantôme à tous. Magistral et fulgurant. Une œuvre d'art. François Busnel, L'Express. Dans cette peinture d'une France qui dégringole dans la haine et la précarité, Virginie Despentes touche au sommet de son art. Alexis Brocas, Le Magazine littéraire. Une comédie humaine d'aujourd'hui dont Balzac pourrait bien se délecter. Pierre Vavasseur, Le Parisien.
g

Despentes, Virginie
Ldp, 404 pgs.


On retrouve Vernon, toujours SDF, et mal en point. L'ancien disquaire est déconnecté du monde réel, sans ambition ni projets. Il apprend à vivre dans la rue, au côté de Charles, un poivrot collant. Les anciens amis de Vernon continue de le traquer comme il possède l’interview inédite du rockeur Alex Bleach, enregistrée peu avant sa mort…
Une formidable suite après un premier tome salué par une presse unanime et plusieurs fois primé.

Un livre de combat porté tout à la fois par une capacité d’indignation inentamée et une empathie époustouflante – et tout sauf aimable.  Nathalie Crom, Télérama.

Virginie Despentes dévoile sans complaisance notre temps en nous offrant un antidote possible. Un véritable écrivain – libre, unique, corrosive.  Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.

On peut faire tourner Vernon Subutex entre ses doigts comme une pierre précieuse changeant de couleur à la lumière du jour. Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche.

g

Despentes, Virgine
LdP, 405 pgs

 

Un dernier volume encore plus explosif que les précédents.  Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.

Le constat est d’une âpreté inouïe, dans laquelle pourtant ne se dissout pas l’humanisme tenace et rageur qu’on sent pulser dans chaque page, chaque phrase.  Nathalie Crom, Télérama.

La manière qu’a Despentes de dépeindre ses personnages et de les ancrer dans le réel captive.  Emma Dubois, Les Échos.

Trois tomes addictifs et intelligents. Drôlerie, sens de la formule et collision des niveaux de langage se mêlent pour rendre Vernon irrésistible.  Raphaëlle Leyris, Le Monde des livres.

L’une des fresques les plus marquantes de ce début de XXIe siècle.  Marianne Pavot, L’Express.

g
Deville, Patrick Points Seuil, 254 pgs. Prix Femina 2012
g
De Villiers, Philippe Le rocher poche, 633 pgs. « Je rêvais de retrouver la trace et l'image d'un saint Louis à l'humanité sensible, un saint Louis de chair, à figure humaine. Le temps, en l'élevant au-dessus de nos natures, lui a peut-être rendu un mauvais service. Il m'a imposé d'aller puiser aux sources les plus authentiques. Là où repose le trésor des paroles vivantes, laissées par les premiers témoins. Ceux qui ont vraiment connu le roi Louis IX, qui l'ont approché, accompagné depuis l'enfance jusqu'au trépas. J'ai remonté le filet d'eau vive. Je n'ai rien inventé. Ni les événements, ni les personnages, ni même l'insolite. Il m'a fallu plonger dans l'époque, en étudier la vie quotidienne dans ses moindres détails, sentir battre les passions, pour faire revivre un saint Louis de notre temps ». Philippe de Villiers
g

Dicker, Joël
De fallois, 598 pgs

Jusqu'au jour du Drame, il y avait deux familles Goldman. Les Goldman-de-Baltimore et les Goldman-de-Montclair. Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, l'auteur de La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey. Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d'une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne. Huit ans après le Drame, c'est l'histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu'en février 2012, il quitte l'hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s'atteler à son prochain roman. Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu'il éprouva jadis pour cette famille de l'Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées. Mais les années passent et le vernis des Baltimore s'effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu'au jour où tout bascule. Et cette question qui hante Marcus depuis : qu'est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore ?

g

Dicker, Joël
Èditions de Fallois, 836 pgs.

30 juillet 1994. Orphea, petite station balnéaire tranquille des Hamptons dans l’État de New York, est bouleversée par un effroyable fait divers: le maire de la ville et sa famille sont assassinés chez eux, ainsi qu’une passante, témoin des meurtres.
L’enquête, confiée à la police d’État, est menée par un duo de jeunes policiers, Jesse Rosenberg et Derek Scott. Ambitieux et tenaces, ils parviendront à confondre le meurtrier, solides preuves à l’appui, ce qui leur vaudra les louanges de leur hiérarchie et même une décoration.
Mais vingt ans plus tard, au début de l’été 2014, une journaliste du nom de Stephanie Mailer affirme à Jesse qu’il s’est trompé de coupable à l’époque.
Avant de disparaître à son tour dans des conditions mystérieuses.

g
Diderot, Denis
Folio classique, 384 pgs.
g